DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- La Simulation Favorable pour Mener le Québec ou
- DENIS CODERRE UN ANCIEN MAIRE DIPLOMATE DISPONIBLE
- Entre (), quand un président s’en va aux urnes par l’axe défensif, c’est qu’il a perdu de ses atouts. Quand il doit faire face à l’offensive de l’adversaire chez lui, c’est qu’il a déjà perdu des acquis. Le peuple a déjà parlé quand on lit les résultats, fermons-les ().
Quand en 2002 j’ai signé Salut Jean bye bye ben, renforcé de Ben Landry dans une impasse Libérale, je ne voulais pas nécessairement chasser dans les intentions, le PM Bernard Landry ni de faire place à Jean Charest non plus. En fait plus tard, j’ai dit La République de Ben Landry marque des points. En ce temps-là je tenais une chronique sociopolitique pour Journal PAMH, la simulation proposa clairement un changement de matelots et du timonier à la barre du Québec. C’était à l’époque la mort assistée du projet d’indépendance avec l’un des derniers acteurs qui a offert la planche de salut au négativisme affaibli de l’ère. On ne faillit pas sans conséquence en politique, à ses propres projets. Rappelons-nous, l’affaire des Commandites secoua tout Québec avec J Chrétien, l’empire et la Reine. Le Racisme a déçu par les propos de J Parizeau/Ben Landry, le soir du référendum des années nonante en accusant l’immigrant récent en incluant tout simplement tout fils & fille d’immigrant qui n’était pas de souche comme on le dit sur une base raciste stricte : «pure laine».
L’affaire a été encore plus loin en proposant en préséances aux anglophones et aux premières nations, des avantages contre les autres que l’on invita à en faire partie d’un pacte à l’aveuglette. Le séparatiste doit bien le comprendre, c’est l’histoire.
Ben Landry était le dernier symbole qui avait pourtant une bonne marchandise, mais qu’il avait mis dans le mauvais emballage (c’est de là où vient François Legault).
C’est ainsi, à la radio, je prenais position en faveur de l’émancipation du Québec et j’ai été plus loin dans le mémoire déposé. Mais, même l’audace de ben Landry tel je l’ai surnommé dans Québec-2001 une nouvelle République au Sommet, accueillant le Sommet des Amériques où le président des États-Unis d’Amérique, en l’occurrence Georges Walker Bush eut à dire aux leaders associés présents : «je viens ici pour apprendre, car c’est vous qui aviez l’expérience». Personne ne l’a cru et nous savons tous ce qui s’était passé par la suite avec 9/11. La sécurité ne pouvait alors laisser la place aux amateurs, le Canada a offert des garanties qu’il a tenues.
La minute du Québec avait sonné pour enterrer la république imaginaire de ben Landry. Charest ne nous mena pas plus loin par la suite avec la diplomatie-Macerola.
C’est en ce sens que bien plus tard, le maire Coderre est arrivé à Montréal avec un projet diplomatique qui secoua plus que les racines de la ville, mais celles du Québec, et même celles du Canada. Sa diplomatie personnelle puisque de municipalité, porta ombrage même à celle du fédéral en soi, qu’il connaissait très bien d’ailleurs. C’était un handicap, mais en même temps un spectre en émergence.
COVID-19 nous oblige une fois de plus comme en 2001, Québec-Legault ne possède pas les compétences pour sauvegarder le Québec d’une catastrophe ni cette partie du Canada pour stabiliser la lutte du reste du monde avec une faille qui risquerait de s’agrandir par sa primature de croque-morts sans coroner.
Québec a besoin d’un véritable leadership aujourd’hui pour ne pas sombrer en bulle pathogène Legault-Aruda. Dubé le défend : «bon latin» de caractère. Et, la ministre Guilbault peut-être confortable avec ces morts ovidiens, après un séjour accommodé chez le Coroner du Québec, elle laisse enfreindre la loi provinciale sur l’urgence sanitaire dans le cas d’assises fédérales pour la gestion d’une pandémie qui tue. Ce n’est pas avec D Anglade que le PLQ ira chercher plus d’adhérant quand elle se considère si l’on en juge par sa mimique, malaise d’enfant d’importé, associée à ses p’tits compliments immatures malséants du début de la pandémie à la vaste catastrophique à venir de Legault, que l’on connait aujourd’hui. Donc, problème de vision, problème de leadership, problème électoral, égal à problèmes de société.
Le Québec canadien a besoin d’une main habile comme Coderre sur un terrain où la France planifie maladroitement une fausse percée nouvelle au Québec. Piétinant les amitiés canadiennes en injectant tant de français mal nourri chez eux, car les nourris restent là-bas, ce en région, pour faire balancer la tendance électorale. Convertissant canadien-français une fois de plus, et croire faire renaître une ardeur référendaire par une nouvelle toponymie électorale. Influencer les statistiques par le racisme.
Coderre ira facilement prendre la tête du PLQ, puis la tête du Québec (D Anglade n’est pas plus haïtienne que Denis). salut, Denis !
Cet article du 28 octobre 2020 est repris et publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, édition du 4 novembre 2020 VOL. L No. 43 NYC ; et se trouve en P. 12 à : http://haiti-observateur.info/wp-content/uploads/2020/11/H-O-4-november2020.pdf