SUR LA ROUTE DU CINÉMA par Dan Albertini
- Tel est le rôle de Matthews du New York Times
À ce stade-ci je dois soulever la question un peu synthétique suivante : est-ce que le tome 1 est la forme de propédeutique à la formation de 7 tomes pour le nouveau cv negant mendax sur le XIVe Apôtre, préparé par le XVIIe si Herbert Lionel Matthews veut être la vedette comme le New York Times? Sont-ils des éléments dépisteurs, le photographe sentinelle avancé, le pro qui ne dévoile pas de chez lui, mais savent que l’indice va servir en échange avec leurs agences politiques, Edgard Gousse ne le rentre pas sans raison que dire sans objectif. Agent Matthews ?
Je reviens confortablement après cette excursion dite diplomatique sur le dies afin de mesurer la portée de Castro en l’auteur, mais plus que son état d’esprit, avec sa forme d’intelligence psychanalysée par neurosciences. La caméra entre en IRM.
Cinéma cinéma, je réitère Debord par Antoine Coppola dans Introduction au Cinéma de Guy Debord et de l’avant-garde Situationniste, critiquant Gérard Guégan (2006) dans Politique du Cinéma je cite l’auteur qui cite Guégan : «Debord est mort, le Che aussi. Et alors? Librio Paris, 2001». En effet, j’ajoute : Kissinger est mort, Kennedy aussi, et alors? Jean-François Revel est mort, Delors est mort, et alors?
Voici Antoine Coppola : «La Société moderne a pour cœur la misère et pour veines la falsification. La société n’est pas soumise à un complot mais à la misère des mesquines ambitions de ceux qui la font tenir debout. Pour que la misère de leur conception de la vie n’apparaisse pas, ces derniers ont institué la falsification comme norme». Quelle a été la réserve des enfants Matthews journaliste média menteur, et que fera Wang, journaliste correspondant chinois accrédité aux UN, expert chinois ?
Il me faut sortir la fois de plus vers la destination connue par excellence. Littérature Interdite pour observer cet Apôtre XVIIe du rang qui a sa Maria Magdalena dans le titre Ne dites pas à ma mère que je suis une salope, pour la sauver de l’injustice du sort. Il lui attribue une note de passage en caressant sa cause sa peine afin d’éviter de transposer sa fureur latente sur la blessure de la misère vécue de cette jeune fille. Je la trouve sympathique sans encore savoir s’il la tue à la fin, ou va la dénuder après le prix payé sans son accord, pour arriver matériellement sur cette terre. Bien que c’est l’aventure qui suit, mais il y est de littérature en Edgard Gousse.
De cette littérature interdite, je viendrai avec le journaliste média menteur depuis Le Sorcier de la Maison-Blanche (Cidihca-2020) sous sa forme romanesque, dont le sorcier se trouve aussi, déjà dans 1915-2015 100 ans dans le ventre de la bête (essai [d’exploitation] de la mainmise étatsunienne sur Haïti / Éditions Trois Amérique-2015). Mieux, le comparatif du sorcier est inscrit dans Le Pouvoir du Sexe (Cidihca-2017), dans lequel il cite en couverture IV, Carmen Ostiguy : «Le Pouvoir du Sexe : les faits sont là, les fesses sont là!», là où il va chercher de Lady Di à Clinton-DSK sans oublier Monroe-Assange Castro-PET-Arafat…, etc. Lequel sexe on retrouve dans Ne Dites pas à ma Mère que je suis une Salope où l’auteur de Sang pour sang de son malheur vécu sur une ligne aérienne déviée, transforme le roman dramatique de Mandala et d’Oracius dans son cercueil en une histoire d’amour et de rêve qui tient du mental haïtien pour rendre immortel le défunt pour sa bien-aimée en pleur affublée par un méta-coït non plutarquien qui rappelle sans outrance, le jargon du conteur Maurice Sixto dans 100%, œuvre qui met en relief la résurrection adaptée.
Ce bagage d’humanité rechape le XVIIe Apôtre selon la classification Haollywood-slrdc, et de l’observatoire du dies qui met en exergue la faillite du journaliste média menteur sans plaidoirie ni rivalité. Matthews, journaliste ressuscité et réincarné multiplex dans la presse bariolée de politique plutôt que de fait, dévoile l’Amérique en trois actes : le rêve de grandeur, l’illusion de grandeur, la folie de grandeur. Allons par le désordre. Je cite Trump : «make America great again». Ce qui signifie pour lui, pour ses pairs en compétition, que l’Amérique a perdu son luxe, ce pas-de-porte. Il a fallu la renaître pour la remettre en service. Élu à ce titre et calé en reprise au même pas avec la fin du terme de Biden, le journaliste média menteur, républicain continue de soutenir par rapport au monde que la version éculée américaine est la «greatest nation on Earth». Le déni est à ce point que la contradiction passe invisible telle chez l’autruche la tête plongée dans le sable.
L’image du gigantisme de Trump dont l’ambition d’enlever l’autre 1/3 des anges, car in God we trust qui réclame Dieu, démontre le barrage de l’effet Biden accusé d’être corrompu au même titre, et plus que Trump, autre Amérique-pluribus? Donc, plus de great America. Les auditions de l’impeachment aux commissions allouées au Congrès démontrent la réclamation du mal pour l’adversaire représenté, et de la vertu pour soi, sans se la légitimer. Nous le savons tous, à Hollywood l’image est géante, sur grand écran, et dans la pensée. Comment de ce fait la chute (Trump) imprévisible?
Je n’invente rien en Guy Debord par ses critiques de tentations comme les mémoires amicales. Debord dans mon inattentif n’exista pas malgré in Métaspora (Des Rosiers) lu en forme de filigrane depuis le début de mes recherches sur le sujet que j’estimais devoir être porté au grand écran pour sa compréhension vécue. Je l’ai souvent dit à l’auteur. Debord est ici conduit par Des Rosiers dans l’essence de son essai a priori, et c’est le XVIIe Apôtre qui pour présenter le XIVe Apôtre, va s’inscrire dans la sorte d’amicale littéraire, sage confrérie en critique, lequel Des Rosiers se réclame là d’une conscience non superficielle des lieux, et dans le temps autant que dans les intérêts, même si familiales en gros. Un autre pacte de voyages, mais non maximo. Il est à la hauteur des attentes de l’Apôtre, en même critique strict. Edgard Gousse nous invite ainsi en Debord comme dans M Devaux, sur la route du cinéma. Image dominatrice, sans détour. Le spectre Haollywood ne sait se diluer l’essence par les voies sereines sans camper ces deux cuba-nismes. Tel du sud (Cayes) pour l’un, du sud-est (Jacmel) pour l’autre. Telle influence bourgeoise du sud, telle révolutionnaire du sud-est.
[Joseph Léonard m’explique pourquoi il a été cherché Edgard Gousse pour Daho dès la genèse, forte de la foi d’une formation apostolique. Le curriculum negare mendax a été connu sollicité, car l’Apôtre tout en gardant sa foi ne pouvait renier le logicien]
Toujours dans Debord par Coppola, le journaliste média menteur tel le falsificateur comme Tom Dunkin que l’on retrouve en Debray, Sollers, se hissant a posteriori pour le récupérer, cité par Coppola. Mais surtout Guégan à qui je dis ceci: même Delors est mort, Mitterrand et Chirac comme Pétain, Napoléon. Revel aussi, et alors ?
Conclure cette part par la comparaison n’est pas l’essence, en outre il est nécessaire de comprendre la complexité du cerveau plastifié du XVIIe Apôtre qui a été cherché Des Rosiers en critique littéraire franc, et qui sans lui ressembler au camp Debord plutôt approprié à Gousse, va puiser pour ses besoins pour l’image dominatrice que l’on rencontre sans lien direct chez Edgard Gousse aussi [Hollywood]. Ce sont là des richesses dans l’élaboration d’un métrage au gigantisme.
Si je considère l’homme affecté sur un lit d’hôpital qui écrit malgré tout la scène sur la ligne d’avion détourné d’Atlanta, dit-il par les Américains (expliqué dans Sang pour Sang), il y a lieu de s’interroger sur ce que Dr Catherine Morin écrit dans son ouvrage l’Homme et son cerveau tant décrit de Mario Beauregard Ph.D., dans ses démonstrations de l’hippocampe que dévoile la partie de l’exposé sur l’utilisation par exemple de (2) langues surtout en écriture/oral tel que le fait Edgard Gousse dans Limenna bout ke. Il utilise l’espagnol aussi comme médium de communication. Je dois revenir toujours chez Odile Jacob qui soutient un rythme sur l’intelligence. Dans Howard Gardner et Les formes d’intelligence, afin de mieux discerner la plasticité neuronale du XVIIe Apôtre dans sa soutenance sur le XIVe Apôtre en Fidel Castro. Le cerveau du soldat cubain a combattu la peur du voisin envahisseur qui le craint autant qu’une piqûre de guêpe mortelle (col. Nathan in les Hommes d’honneur), ce qui une fois de plus dévoile la négativité du cerveau saxon surtout dans une période de redéploiement chinois et de victoire avérée russe en Ukraine malgré le propagandiste et la fausse propagande démentie, du journaliste média menteur que je retrouve en Matthews, en Dunkin. Aussi sur un autre registre de trahison sur lequel je reviendrai plus tard avant de conclure la neuvaine, E. Stuart qui croit me défaire pour son ami judge déposé menteur aussi, en décrivant la fantaisie d’une série tandis que c’est de la fantaisie non fantaisiste au service de l’écriture que le concerné voulait faire passer pour dissiper le rêve de l’auteur débordé par son mensonge se croyant en procès PetroCaribe où il poussait son mémoire par le harcèlement afin de réclamer victoire d’une démarche alambiquée. En fait la plasticité négative atteint de plus en plus ce cerveau américain entrainé dans une course folle vers le bas, vers l’implosion, par le mensonge découvert de sa paranoïa. Edgard Gousse plaide Castro par son œuvre.
Je trace la note dévouée à ceux qui me font le privilège de conforter la relation slrdc. La neuvaine qui lit à travers la Métaspora ne fait pas dans la pratique anti américaine ni d’exposé philosophique de méthodes de réverbère idéologique au combat. Le cv apostolique negant mendax fait dans le concept du méta démêlé de Des Rosiers. Trump en Matthews, Biden en Dunkin en disent déjà long du mal réel dont Edgard Gousse en parle aussi. Allez voir Tom Dunkin, journaliste né à Los Angeles P.622, 623. Il est carrément ce mercenaire journaliste infiltrateur là pour mentir par extension, exonéré du crime. Il m’est très confortable d’apprécier le CV de la mission du XVIIe Apôtre même sans l’épitre dédicatoire décrite du nom du XIVe ni par obligation de plaider ab absurdo son décanat puisque de la décennie 14-24, l’arrivée de Donald J Trump pour 2016 s’est faite par le mensonge sur l’acte de naissance de B Obama qui hébergeait Jo Biden vice-président dans le déni de Kiev, pour s’accomplir avec la contestation de ‘me too’ accusant Donald Trump de fraudes dès la victoire contre «crooked Hillary». Coupable avéré depuis, il les accuse de «big lie, big hoax» pour se voir évincé en Cour suprême. Puis du mensonge de Joe Biden qui défend son fils, non pas la vérité inversée d’«in God we trust», par le journaliste média menteur.
En liminaire, il y eut Colin Powell à l’ONU….
- Merci d’y croire!
cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, VOL. LIIII, No.021 [Édition spéciale Canada du 10 janvier 2024], et se trouve en P.3 à : h-o 7 fevrier 2024